De la philosophie des relations humaines.

Si nous prenons la philosophie comme le système d’idées qui cherche à établir les fondements d’une science, ce sera donc le cadre sur lequel nous allons nous appuyer pour ressortir deux blocs vitaux à mettre ensembles, à savoir les relations humaines comme science et la philosophie comme instrument de recherche, de compréhension, de savoir pour mettre sagement en musique la vie, celle des grands et des petits, des riches et des pauvres, des petits et des grands, des croyants et des non-croyants, les hommes et les femmes et par extrapolation les humains avec la société, la nature, le droit, la coutume et les traditions.
Au vu de la nature complexe des relations humaines de nos jours, il faut se doter d’une sagesse de vie implacable pour ne pas péricliter dans les vagues des rencontres et autres fréquentations courantes ou spontanées.
Le precieux trésor de la vie encore appelé travail ou activité, nous expose aux affres des caractères, des déboires professionnels et comportements difficiles, toutes choses qui transforment un humain en monstre froid ou en lâche passif mais foncièrement haineux puis sorcier.
Les relations familiales, sentimentales, amicales, sociales, politiques ou spirituelles ne sont pas exemptées de crises.
L’urgence à trois étapes est donc à savoir la finalité idéale dans nos relations, les potentiels écueils à devoir gérer et l’état pur de nos cœurs à préserver car oui pour le chrétien que je suis par exemple, la bible me prévient de la complexité des relations humaines (2 Timothée 3) mais aussi me recommande de veiller sur mon cœur ( Proverbes 4v 23 et Mathieu 15 v 18- 20)
Si vous faites ce travail à trois étapes de manière suivie et responsable, vous saurez mettre en place votre philosophie dans les relations que vous avez avec les autres, vous saurez entretenir une relation pure avec votre créateur et vous ne serez certainement pas une extension du méchant mais bien un être humain normal (comme il y’en a de moins en moins)
Quelques indicateurs de garantie du succes de votre approche scientifique :
– votre méthode doit aboutir à la paix que vous saurez distiller autour de vous et en vous-même.
– les objectifs deviennent plus importants que les caprices, les subjectivités ou notre droit (que nous pouvons parfois céder quand il n’y a pas mort d’homme)
– pour le croyant c’est Dieu qui est le plus important et sa position dans les Saintes écritures prime.
– la vie est un passage pas un siège permanent, vivre en pensant aux autres doit être une nature.
– personne ne mérite votre haine, ce sentiment est à utiliser pour le règne spirituel et non dans les petits problèmes naturels.
Vous êtes différents, vous pouvez faire la différence, il suffit de faire le choix du renouvellement de l’intelligence et d’adopter une philosophie de vie qui dicte votre quotidien et non l’inverse.
Dr Jean Moïse Mbog,
Acteur social pour la décolonisation des mentalités.
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