Le salaire du péché, c’est la mort
La Bible dit que ton péché, celui dans lequel tu vis actuellement, a un salaire.
Nous servons un Dieu juste, et il a dit : « Car le salaire du péché, c’est la mort. »
La justice de Dieu impose qu’il te paie ton salaire ; tu auras le salaire de ton péché.
Quand tu commences à travailler, le gouvernement te donne une avance de solde.
Quand tu pèches, Dieu te donne une avance de solde pour ton péché ; tu récoltes le salaire de ton péché. Et après quelque temps, tout comme l’État, Dieu te donne le rappel. Quand tu atteins le moment de ton rappel, on voit une fille de 13 ans qui a des triplets.
Ton péché a un salaire. Dieu est juste, il ne prend pas les dettes, il paie à chacun.
Il y a un autre salaire qui est intéressant : amuse-toi avec les enfants des autres, à 8 ans on va violer ton enfant.
Le salaire final, c’est que tu vas périr dans le lac de feu et de soufre.
Pendant des années, tu vas gémir, brûler dans le lac de feu.
Quand l’enfant est têtu, on le fesse ; la fessée, c’est l’avance de solde pour son péché.
Sois honnête : as-tu déjà les marques du salaire de tes péchés dans ta vie ? Mais ce n’est encore rien.
Ohh!
Le péché est un fardeau. Après quelque temps, ton péché commence à te fouetter. Qui que tu sois, tu auras le salaire de ton péché.
Le péché est un serpent, un aiguillon qui a pour ambition de te détruire.
Le péché est un titan qui transforme les enfants en vipères.
Le péché transforme les mères en monstres ; aujourd’hui, on voit des mères qui refusent d’allaiter leur enfant, disant que leurs seins vont tomber.
Le péché allume le feu dans les familles ; il gâte les amitiés, il est un titan.
Le péché est une dette. Tous ceux qui pêchent sont endettés.
Le péché est un destructeur à petit feu.
Et chaque pécheur a un salaire.
Mais ne t’inquiète pas de tout ce que tu as vécu jusqu’à aujourd’hui.
Les ténèbres ne régneront pas à jamais ; Dieu a payé le prix.
Jésus-Christ s’est donné lui-même pour toi et pour moi.
Es-tu piégé par le péché actuellement ? Et souhaites-tu être délivré et ne pas aller en enfer ?
Je veux t’accompagner, je veux te tenir. Écris-moi immédiatement en inbox, sans attendre ;
nous allons travailler ensemble.
Que Dieu te bénisse

